J’ai peur de vieillir
Quelle sera ma vie plus tard? Marié deux enfants?
Quels seront mes centres d’intérêt?
Es que je lirai encore des livres de grand auteur?
Es que j’écouterai encore les bérus?
Es que je me poserai encore tant de question?
Es que mon crew sera toujours à mes côtés ? Toujours soudé ?
Es que je commencerais toujours mes phrase par es que ?
Mon pote, j’ai peur de vieillir…
(Antimortalité)
No name
Les grandes stèles s'élève dans les villes en l'honneur de personnes qui sont censé être des héros. En somme nous vraiment sur??? Et si ces personnes avec comme tout le monde leur petit vice? Après tout certain se battait sur le front pendant qu'eux était caché. D'autres semble être des héros, mais on produit des tueries par une simple haine raciale. "Je vous ai compris" je n'en suis pas si sur. Engendré par la haine les héros tombe sous les balles tandis que les imposteurs s'élève au plus haut acclamé par ceux qui sont dupé. Les grande stèles me semble un peu terne je remercierai jamais ceux qui les dégrade mais si cela est fait inconsciemment. Les seul héros sont dans la rue, dans les cimetières, dans mon cœur. Tout se sens cachés peut être compris, si on veut le comprendre.
(antihéros)
No name
La liberté est comme la vodka, il faut la savourer et la consommer avec modération. Elle nous fait tourner la tête tellement elle est bonne, mais en abuser nous fait gerber. Moi je vais trop vite mais je ne la gerbe jamais car, elle et moi, nous ne faisons qu'un comme la flamme avec l'essence, comme les larmes avec la tristesse, comme les pavés avec les crs. Interdit aux mineurs, les mineurs interdisent d'interdire. Grâce à cette comparaison l'alcoolémie nous semble moins cruelle, ce sont des assoiffés de liberté qui se noient dedans pour crever dedans. Adieu mon esprit je te laisse t'envoler loin pour retrouver les plus grand.
(anticonstitutionellement)
No name
De Libertad a "No name" un pas, surement moins poétique mais tout aussi engagé. Levant la plume libertaire changé en clavier par la technologie trouvant son arme dans ces lignes fusillant tout ce qui le dérange. No name ne crois pas en dieu, ni au maitre, aboie telle un chien des discours anarchiste qui pense juste, trouve sa liberté dans les livres et la musiques baigne dans un monde crade, marche dans un brouillard permanent mais sais où il m'est sa plume, et c'est souvent en plein cœur.
(anti)
No name
